Mon GN est-il accessible aux handicapés ? Lorsque nous avons voulu répondre la première fois à cette question, nous nous sommes rendu compte qu’il était nécessaire d’effectuer un vrai travail de recherche sur le handicap. Mais qu’une fois cette étape accomplie, nous tenions une méthodologie pouvant être utilisée pour l’organisation d’autres GN. Nous vous proposons donc à travers cet article, condensé de la conférence-atelier baptisée “GN et Accessibilité” que nous avons présentée à Labo-GN 2016 et qui le sera également aux GNiales de Paris 2016, une démarche pour rendre vos GN plus accessibles.
Dyptique Accessibilité – Skimy pour Electro-GN
D’ailleurs, en quoi suis-je concerné en tant qu’organisateur de GN ?
- L’aspect éthique : On peut déjà se référer à la page intitulée Apport du GN à l’éducation populaire sur le site de la FédéGN: “Le GN est Universel. Il s’adresse à tous les publics sans distinction d’âge, de classe sociale, sans aucune discrimination (raciale, religieuse, sexuelle, nationale, …). […]Le GN est Accessible à Tous. Le GN par sa forme ludique est agréable et simple d’approche. Il s’adresse au plus grand nombre compte tenu de la diversité qu’il peut prendre (durée, complexité).” Chaque organisateur est bien entendu libre de ses choix, l’important pour nous est d’au moins s’interroger sur le sujet, car il existe des moyens simples pour ne pas avoir à exclure un joueur à cause de son handicap.
- L’aspect pratique : être organisateur de GN, c’est aussi avoir à gérer le risque, essayer d’anticiper ce qui pourrait ne pas se passer comme prévu dans son GN. Un organisateur peut se retrouver avec un joueur en situation de handicap sur son jeu (exemple fréquent : une entorse), et il va devoir improviser une solution dans l’urgence. Si on s’interroge en amont sur la question du handicap, on peut se prémunir contre bon nombre de situations désagréables, que ce soit en prévoyant des techniques pour gérer telle ou telle forme de handicap, ou en communiquant dès l’inscription sur les capacités d’accueil de son GN.
De plus, d’après nos recherches, 85% des handicaps surviennent à l’âge adulte, et environ 300 000 personnes deviennent handicapées en France chaque année. Ce qui veut dire que réfléchir à l’accessibilité de vos GN, c’est aussi réfléchir pour vous-mêmes, dans le cas où vous viendriez aussi à vous retrouver en situation de handicap.
En guise d’illustration, voici une des expériences que nous avons vécue.
Pour une murder classique que nous avions écrite à trois, nous avions mis en place un élément visuel assez important : une jauge indiquant aux joueurs où ils en étaient dans la résolution de l’intrigue. Certains avaient intérêt à ce que cette jauge comporte plus de rouge que de vert, et d’autres le contraire. Après bien une heure de jeu (sur les 2h30), un joueur s’est approché de nous un peu ennuyé et nous a demandé où en était la jauge. Il était daltonien.
Un détail de notre jeu – parce que distinguer les couleurs n’était pas le cœur du jeu – a généré une situation de handicap pour un de nos joueurs sans qu’on s’en aperçoive. Et si ce dernier ne s’était pas décidé à nous l’avouer, on ne s’en serait jamais aperçu.
En tant qu’organisateurs, nous nous en sommes voulu de ne pas y avoir pensé. C’est peut-être parce qu’il s’agit d’une déficience invisible (contrairement à un fauteuil roulant par exemple) qu’il est moins aisé d’y penser. Pourtant, le daltonisme est relativement fréquent… Nous connaissons des daltoniens au boulot, dans nos amis, mais en GN POUF, ça n’existait plus.
OK, on sait qu’on n’est pas parfait et qu’on ne peut pas penser à tout. Mais quand même, en y réfléchissant, ce n’était pas très difficile à éviter. Il fallait juste prendre 5 minutes pour poser la question, et se rendre compte qu’une double signalisation réglerait le problème. Par exemple associer à chaque couleur un symbole différent : des croix vertes et des ronds rouges.
Notre jeu aurait été ainsi plus accessible.
Le sujet étant riche, nous avons posé un cadre pour cette première approche
- Nous ne nous intéressons qu’à la mixité, c’est-à-dire faire côtoyer dans un même GN des joueurs “handicapés” et des joueurs “valides” en réduisant, voire supprimant les situations de handicap, et cela afin que chacun puisse profiter pleinement du jeu.
- Nous nous intéressons aux situations de handicaps impliquant une déficience visuelle, auditive, motrice, physique ou du langage.
Pourquoi écartons-nous les déficiences intellectuelles, cognitives et psychiques (lourdes) ? Elles nécessitent, contrairement aux précédentes, un accompagnement humain important pendant le GN. L’accessibilité pour les autres déficiences est plus aisée dans le sens où elle peut être rendu possible grâce à une préparation en amont du GN afin de permettre aux joueurs d’être autonomes durant le jeu.
Étape 1 : s’informer sur le handicap
La notion de handicap est plus complexe qu’il n’y paraît. Si l’on souhaite traiter ce sujet pour son GN, il est important d’avoir de bonnes bases et les bonnes définitions.
Le handicap, c’est quoi ? L’article 114 de la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées indique :
« Art. L. 114. – Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. »
Cette loi implique plusieurs choses très importantes :
- Un handicap est une discordance entre une personne et un environnement. Autrement dit, si l’environnement est adapté, la situation de handicap disparaît.
- Rentre dans le handicap tout ce qui peut perturber la participation à la vie à la société. On pense souvent aux personnes en fauteuil roulant, aux malvoyants ou aux malentendants, mais les allergies alimentaires, un trouble de la mémoire ou une myopie, peuvent aussi générer des situations de handicap à partir du moment où l’environnement n’est pas adapté (ex : un repas avec un menu unique et imposé, la nécessité de mémoriser beaucoup d’informations, l’impossibilité de porter des lunettes de vue).
- Un handicap peut être temporaire ou définitif. Une blessure ou une maladie peuvent entraîner une situation de handicap le temps de la guérison (ex : un bras cassé).
De plus, il faut retenir que :
- Un handicap n’est pas nécessairement visible. La plupart sont d’ailleurs invisibles, c’est-à-dire que l’on ne peut pas le deviner rien qu’en regardant une personne.
- Une personne handicapée ne parlera pas forcément spontanément de son handicap, et c’est un choix que nous devons respecter, qu’importe la raison.
- Une personne peut ne pas avoir conscience d’être dans une situation de handicap, souvent parce que cela ne l’empêche pas de vivre correctement au quotidien. Mais dans un GN, l’environnement peut être très différent de la maison, et certains problèmes peuvent alors surgir et générer des situations de handicap jusqu’à présent insoupçonnées.
- Une personne peut ne pas vouloir accepter d’être considérée comme étant en situation de handicap simplement à cause de l’image péjorative qu’évoque le mot handicap. Taper “parler de son handicap” dans un moteur de recherche, permet de se rendre compte que le sujet est délicat. Faut-il en parler en entretien d’embauche ? Avec quels mots ? Faut-il mentionner son handicap dans son CV ? Faut-il / comment en parler à ses collègues de travail ? Bref, le GN est un loisir, mais les préjugés sont tels que cela ne suffit pas à instaurer un climat de confiance, surtout quand il y a un casting à passer.
- Un handicap peut prendre un très grand nombre de formes, et chacune nécessite une réponse spécifique. Un recensement exhaustif des formes et des solutions que l’on peut y apporter est quasiment impossible. Nous avons toutefois rassemblé sous la forme de fiches récapitulatives des informations utiles sur les déficiences les plus courantes.
- Des débats existent sur ce qui peut être considéré comme un handicap ou non, mais cela concerne les administrations et le monde professionnel pour des raisons légales et financières. Dans le cadre de l’organisation d’un GN, nous ne cherchons pas à décréter qui est handicapé ou non. Si quelqu’un nous dit être en situation de handicap, écoutons-le.
Nous avons plusieurs fois parlé d’accessibilité depuis le début de cet article. Il est maintenant important de clarifier ce terme. Pour rappel : situation de handicap = discordance entre une personne et un environnement. L’accessibilité, c’est réduire ou éliminer ces discordances. Attention le terme “environnement” inclut des composantes physiques, organisationnelles et culturelles. Il ne se limite donc pas à une rampe d’accès pour les fauteuils roulants. Considérer que montrer du doigt n’est pas un geste grossier, mais plutôt une aide à la communication pour des personnes malentendantes, c’est aussi de l’accessibilité.
Si vous souhaitez en savoir plus sur ces définitions, nous vous invitons à consulter les sources à la fin de l’article.
Étape 2 : analyser l’accessibilité de son GN
Afin d’analyser l’accessibilité de son GN durant les différentes phases de sa conception, nous vous invitons à vous poser les questions suivantes :
- Pour chaque type de handicap (visuel, auditif, physique, moteur, du langage, etc.), un joueur handicapé :
- Sera-t-il autonome ? C’est-à-dire pourra-t-il, sans assistance :
- se déplacer sur l’ensemble du lieu en toute sécurité ?
- se repérer dans l’espace ?
- se nourrir (penser aux intolérances alimentaires), boire, se laver ?
- communiquer avec les autres participants ?
- se reposer ? Des activités comme rester debout ou se déplacer peuvent être plus fatigantes pour une femme enceinte, ou une personne ayant mal au dos.
- Pourra-t-il capter l’ensemble des informations communiquées par les organisateurs ? Exemples :
- annonces sonores (mots clés, musiques, sirène, etc.)
- annonces visuelles (fumigènes, panneaux, rubans de couleurs)
- Pourra-t-il jouer n’importe quel type de personnage ? Sera-t-il cantonné dans un rôle d’handicapé ou de personne âgée ?
- Sera-t-il autonome ? C’est-à-dire pourra-t-il, sans assistance :
- Le système de jeu pourrait-il induire une situation de handicap ?
Exemple : une compétence nécessitant obligatoirement les deux mains ne sera pas utilisable par quelqu’un avec un bras dans le plâtre.
- La préparation du GN pour les joueurs pourrait-elle induire une situation de handicap ? Exemples:
- Les fiches de personnages ou règles existent-elles en format adapté aux malvoyants (ex : gros caractères) ?
- Y a-t-il un accès véhiculé proche du site de jeu pour un handicapé moteur ?
- Si le visionnage d’une vidéo avant le GN est nécessaire, existe-t-elle en version sous-titrée ?
Vous devez produire à la fin de cette étape une liste de handicaps classés en au moins 2 catégories :
- Mon GN est accessible pour : …
- Mon GN n’est pas accessible pour : …
Étape 3 : adapter et décider
Dans le but d’enrichir la première catégorie – ou s’assurer qu’elle ne peut pas l’être plus – il y a deux manières d’envisager les choses :
- en adaptant le système de jeu, le site et/ou la logistique,
- en prévoyant un support humain sur place.
La réflexion doit se faire pour chaque type de handicap et nous vous invitons à classer les solutions trouvées en quatre catégories pour vous aider à décider :
- celles qui n’ont aucun impact sur son GN (pas de coût supplémentaire, pas plus de travail, etc.)
- celles ayant des impacts sur son GN que l’on est prêt à accepter (coûts supplémentaires acceptables, modification de certains aspects du jeu)
- celles ayant des impacts sur son GN que l’on n’est pas prêt à accepter (coût supplémentaire trop important, modification de certains aspects du jeu)
- celles qui remettraient en question la nature profonde de son GN. Exemple : je souhaite organiser un GN dans le noir complet, avec uniquement des interactions sonores. Je pourrai difficilement le rendre accessible aux malentendants sans changer les fondements de mon GN.
Nous voulons insister sur une chose à ce stade de la démarche : il n’y a pas de mauvaise réponse. L’important est d’être conscient de ses choix en tant qu’organisateur de GN.
Nous vous conseillons de privilégier au maximum les solutions permettant à une personne handicapée d’être autonome durant le GN. Dans le cas où vous ne trouvez pas de solution acceptable pour tel ou tel type de handicap, durant la phase de conception du GN, il est tout à fait possible de prendre une décision temporaire, et d’y revenir plus tard.
Vous devez produire à la fin de cette étape la liste des situations de handicap qui seront évités dans votre GN avec les solutions mises en place ou à mettre en place pour y parvenir, ainsi que la liste de tout ce que vous avez décidé d’écarter.
Étape 4 : communiquer
Tout le travail réalisé dans les étapes précédentes ne sera complètement rentabilisé qu’avec une bonne communication auprès de la communauté et des potentiels futurs joueurs. Mais comment bien communiquer sur le handicap et quels sont les pièges à éviter ? Voici les questions les plus importantes que nous nous sommes posées :
- Doit-on indiquer si notre GN est accessible ?
Oui. Évidemment. Déjà parce que si vous avez bossé dessus, ça serait dommage de ne pas le dire. Ensuite, rater des inscriptions parce vos potentiels joueurs pensent qu’ils seront en situation de handicap sur votre GN alors que vous faites tout pour que ça ne soit pas le cas, c’est encore plus dommage.
Nous vous conseillons pour cela d’utiliser les logos d’accessibilité usuels suivant les choix que vous avez faits. Mais cela ne suffit pas, il faut les commenter pour préciser de quoi il s’agit exactement afin d’éviter tout quiproquo.
- Doit-on indiquer si notre GN n’est pas accessible ?
Oui, aussi. C’est le meilleur moyen d’éviter d’une personne s’inscrive à votre GN en pensant qu’il lui est accessible alors qu’il ne l’est pas. Essayez si possible d’expliquer pour quelles raisons il n’est pas accessible.
- Un joueur doit-il prévenir les organisateurs de son ou ses handicaps ?
Ça dépend. D’un côté, un handicap peut-être quelque chose de très personnel. Un joueur peut être mal à l’aise rien qu’à l’idée d’en parler, et il est important pour nous de respecter la sensibilité de chacun.
D’un autre côté, un organisateur peut avoir besoin de savoir si un de ses potentiels joueurs a un handicap afin de pouvoir proposer à tous un GN dans des conditions optimales.
Il faut vous poser cette question : avez-vous besoin de savoir si vos joueurs ont tel ou tel handicap ?
Dans certains cas, vous vous rendrez compte que ce n’est pas nécessaire si vous avez déjà réalisé les 3 premières étapes. Par exemple votre est GN est accessible aux personnes daltoniennes parce que vous avez prévu un système de double signalisation sur tous vos codes couleurs. Dans ce cas de figure, vos joueurs n’ont pas besoin de vous prévenir.
Dans d’autres cas, vous aurez besoin de savoir. Par exemple, votre site est accessible aux personnes à mobilité réduite, mais les chambres sont réparties entre le rez-de-chaussée et le 1er étage, sans ascenseur ou aménagement particulier. Vous aurez donc besoin de savoir si un joueur est en fauteuil roulant pour pouvoir lui réserver une chambre au rez-de-chaussée.
Dans un cas comme dans l’autre, communiquez sur le sujet. Si vous avez besoin que l’on vous prévienne pour tel ou tel handicap, dites-le. Si vous n’avez pas besoin que l’on vous prévienne, dites-le aussi.
Le nombre de handicaps différents est tellement grand que vous ne pourrez pas penser à tout. Pour tous les cas non-prévus, cela revient finalement à demander aux joueurs de remplir le cadre souvent intitulé “Problèmes de santé dont les orgas devraient avoir connaissance” dans les fiches d’inscriptions.
Le problème de se limiter seulement à ça et ne pas faire le boulot des étapes précédentes, c’est que vous demandez aux joueurs de deviner ce qui va poser problème ou pas. Alors que c’est vous, l’organisateur, la meilleure personne pour savoir ce qu’il est en. Si vous y avez réfléchi avant, si vous avez communiqué dessus, il y a de grandes chances pour que vous ne trouviez dans ce cadre que des cas rares, et comme vous avez déjà pris soin de réfléchir aux autres, ils vous paraîtront sûrement beaucoup moins insurmontables.
- L’organisateur doit-il informer les autres participants de la présence d’un joueur handicapé ?
On peut répondre à cette question à peu près de la même manière que la précédente : oui, mais uniquement si cela est nécessaire. Comment déterminer si cela est nécessaire ? Ce n’est pas toujours simple. Une bonne manière d’essayer d’y voir plus clair est d’échanger en amont avec le joueur handicapé. Il est le mieux placé pour savoir comment parler de son handicap, et pourra vous donner des conseils sur quoi dire, et ne pas dire.
Nous vous recommandons la prudence dans ce type de communication afin qu’un joueur ne se sente pas stigmatisé. Vous avez surement déjà vécu ce moment du briefing où un orga dit : “Que Machin vienne au centre, repérez-la bien, vous ne devez pas la taper, elle est enceinte.” Pour certains joueurs, ça ne posera pas de problème. Pour certains cas, ça sera difficile de faire autrement. Mais posez-vous la question : est-ce que c’est nécessaire ? Est-ce qu’il n’y a que ce moyen ? Et surtout, est-ce que le joueur concerné est bien d’accord avec ça ?
Vous avez déjà fait la moitié du travail.
Si vous avez lu notre article jusque-là, une bonne partie des efforts pour rendre vos GN plus accessibles ont déjà été fait. Il n’est pas très difficile de rendre plus accessible un GN. L’essentiel est d’avoir envie de se lancer dans ce type démarche, de se poser les bonnes questions lors de la conception de vos jeux, de faire les bons choix et de communiquer sur votre travail. Vous ne trouvez pas de solution acceptable pour rendre votre GN à tel ou tel handicap ? Ce n’est pas grave. Donnez-vous des objectifs réalisables, étape par étape.
L’important pour nous c’est d’avoir conscience des choix faits en termes d’accessibilité et de chercher à offrir à tous un GN qui lui correspond. Et rappelez-vous de ceci : plus nos GN seront accessibles, plus riche sera notre communauté.
Sources
FedeGN. Apport du GN à l’Éducation populaire. Disponible sur http://www.fedegn.org/gn-et-education-populaire/apport-du-gn-a-l-education-populaire
FedeGN. Qu’est-ce que le GN ? Disponible sur http://www.fedegn.org/le-gn/qu-est-ce-que-le-gn
Larousse – Dictionnaire de français. Accessibilité. Disponible sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/accessibilit%C3%A9/421
Délégation Interministérielle aux Personnes Handicapées. Définition de l’accessibilité – une démarche interministérielle – septembre 2006. Disponible sur http://docplayer.fr/2153905-Definition-de-l-accessibilite-une-demarche-interministerielle.html
Larousse – Dictionnaire de français. Handicap. Disponible sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/_handicap/38988
Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Disponible sur https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796446&dateTexte=&categorieLien=id
Ministère des affaires sociales, de la santé et du droits des femmes. Le service public : guide de l’accueil des personnes en situation de handicap. Disponible sur http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Guide-pour-mise-en-ligne.pdf
Centre National d’Innovation Santé, Autonomie et Métiers (CNISAM). Bonnes pratiques face aux personnes déficientes ou en situation de handicap. Disponible sur http://www.cnisam.fr/Bonnes-pratiques-face-aux.html
Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles (FFAC). Vivre avec un chien guide. Disponible sur http://www.chiensguides.fr/site/2_le_chien_guide/vivre_avec_un_chien_guide.htm
Handi’Chiens – Association Nationale d’Education de chiens d’Assistance pour Personnes Handicapés. Le chien d’assistance. Disponible sur http://handichiens.org/Le-chien-d-assistance.html
Elise H. et Mathieu L.
Derniers articles parElise H. et Mathieu L. (voir tous)
- GN et handicap : comment rendre notre activité plus accessible ? - 24 octobre 2016
24 octobre 2016 at 10 h 52 min
Article très bien documenté. Excellent travail de synthèse tout en étant pédagogique. Et surtout super approche à la fois constructive, assez honnête sur ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Bref un article référence. Bravo !
4 novembre 2016 at 0 h 14 min
Article très intéressant, bravo aux auteurs pour ce travail de recherche et de synthèse.
En lisant l’article, je m’aperçois d’une chose : le calendrier de la FédéGN n’intègre pas cette notion d’accessibilité et c’est dommage. Nous allons travailler pour ajouter les pictogrammes.